Les irréductibles gaulois
Il y a très longtemps dans une galaxie perdu dans l'infini de l'univers, dans un systême solaire accroché aux bras de celle-ci et ceinturé d'astéroïdes, sur une petite planète bleu voilée de blanc, sur un continent informe fait de sang et d'espoir, vivait une peuplade étrange et râleuse qui ne cessait de s'en prendre aux lois naturels de l'univers. Harcelant le Grand Tout de leurs si petits poings fait de rêves démesurés et impies. Criant si fort, gesticulant si souvent qu'un temps ils firent ployer la loi unique. Mais ce temps est révolu. Leur rêve d'égalité et de fraternité est mort et la loi du plus fort est redevenu la loi unique sur cette terre comme aux confins de l'univers.
Et pourtant... Et pourtant, c'était si beau. Ces petits bouts d'hommes qui altérait la réalité.
Mais de quoi parle-t-il encore ? De toute façon, on ne comprend jamais rien à ces délires. Autant écouté un pauvre erre si fou de solitude qu'il en vient à parler tout seul. Mais n'est-ce pas ce que nous faisons? Peut-être... Peut-être est-il ainsi... Fou de solitude. Et peut-être, puisqu'il ne nous parles que de société, sa solitude est-elle sociale... Mais qu'est-ce que la solitude sociale... Le manque de parler au monde ? Non ce serait trop c... Alors quoi ? Voyons, qu'est censé nous apporter la société... Une protection bien sûr. Contre quoi? Les animaux sauvages, les autres, la famine. Moui... Alors la société est censé nous apporter la paix. Et ça solitude sociale c'est ce manque de paix. Il parles de la loi du plus fort... Les animaux sauvages, les autres... Oui, ils sont plus fort et la société nous en protège. Bah alors quoi ! Il devrais être content... Moui, d'accord c'était il y a longtemps. Les animaux sauvages ont été remplacé... Par la société. C'est ça. La société n'as plus de rôle. Elle est devenu son propre ennemi. Rendant chacun fou de solitude sociale... Moui Et après? Après il nous parles d'une peuplade, d'égalité, de fraternité. Nous parles-t-il du nouveau rôle vers lequel devrais tendre la société. Et d'un peuple qui aurait tenté de l'y pousser ? ça se tient. C'est tiré par les cheveux mais ça se tient.
Mais alors quoi. Ce peuple, on est pas dupe, ils nous parles des français. Râleur, criant et gesticulant, égalité, fraternité. Tout y est. L'image d'épinal. Le français râleur au milieu de ses manifestations et grèves incessantes. Pourquoi dit-il que c'est fini. La je sèche. Hey Auda ! pourquoi, je te site, ce temps est-il révolu?
Euh... Et bien, merci interlocuteur imaginaire de me tendre ce perchoir à mes petites pattes.... Désolé pour ce plagia, j'ai pas pu m'empêcher. Pourquoi ? Et bien pourquoi les Huns faisait-il tant de ravage ? Pourquoi Alexandre à tant conquis? Pourquoi l'église est-elle devenu si forte au moyen âge. La peur, mon ami, la peur. Il fut un temps, en France, ou les politiques avaient peur du peuple. Et ou donc le peuple avaient un pouvoir sur les politiques. Désormais tout cela est fini. Le peuple est redevenu servile, enchaîner par la peur. La peur du pouvoir, la peur de l'autre, la peur de l'étranger, la peur du patron, la peur du chômage, la peur, la peur, la peur. Maître incontesté de notre destiné.
Et pourtant... Et pourtant, c'était si beau. Ces petits bouts d'hommes qui altérait la réalité.
Oui je sais ce post c'est du n'importe quoi. Mais il est à l'image de ce qui nous entourent... Alors je le garde, na!